• Comme le New York Time l’annonçait récemment, je m’apprête à participer à la Foire du livre de Brive-la-Gaillarde qui se tiendra les 7, 8 et 9 novembre prochains. Durant ces trois jours j’aurai l’occasion de m’asseoir sur une chaise, derrière une table sur laquelle seront vraisemblablement empilés les exemplaires de mon ouvrage « Comment devenir un brillant écrivain » qui n’auront pas encore trouvé d’armoire normande à caler. Fort heureusement, la durée de ces épreuves se limitera à deux heures par jour, en fin d’après-midi, ce qui me laissera un temps vacant assez considérable dans une ville inconnue où par ailleurs je ne connais personne. Je disposerai donc de tout le loisirs nécessaire pour fureter à droite, à gauche (selon l’agencement des allées) au milieu de ce salon du livre qui, dit-on, est en importance le deuxième de France après Paris. On annonce du beau monde - Frédéric Beigbeider, Amélie Nothomb, entre autres- et peut-être aurais-je la joie de partager ma modeste chambre d’hôtel avec l’un d’eux (j’avoue que je préférerai nettement Beigbeider, il paraît que Nothomb ronfle comme une chaudière mal entretenue, c’est Beigbeider qui me l’a dit).

    Bref, tout ça pour dire que ce petit séjour pourrait donner lieu à un compte rendu distrayant.

    Reste à savoir si cela intéresse quelqu’un… D’où ma question : dois-je me munir de mon crayon et de mon calepin pour me rendre à Brive ?

    Pour répondre, le « sondage » se trouve dans la colonne de gauche.


    Foire de Brive : une foule impatiente
    se presse auprès des vedettes de l'édition

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