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Par Aloysius-Chabossot dans Choses diverses le 6 Août 2007 à 12:11...nous vivions à la campagne, ou en rez-de-chaussée d’un immeuble de ville, tu vadrouillais à ta guise, j’adorais ta liberté et ton mystère, tu revenais toujours aimante et caressante. J’avais ta patte sur mon visage, lorsque je dormais. J’enfouissais mon nez contre ton ventre, je...